Raketa repris par un Français...
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f 6iiv
tsuge
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Raketa repris par un Français...
Trouvé sur internet.
Un livre :
Davaï ! sur les chemins de l'Eurasie
Jacques Von Polier & Julien Delpech
Robert Laffont
Paris-Shanghai-Paris, avec une vieille Lada et quelques dollars… une épopée cocasse et édifiante qui laissera pantois les routards les plus aguerris. Pour tout viatique, quelques centaines de dollars. Pour tout principe, ne jamais dormir à l’hôtel. Rien n’arrêtera Jacques von Polier et Julien Delpech. En un an, les deux aventuriers ont fait la boucle. Ils ont visité des dizaines de pays, rencontré des centaines de personnes… et avalé des litres de vodka. Ils ont dansé à Vladimir sur les langoureux slows de Joe Dassin, vécu avec les nomades dans les plaines mongoles, bu un petit verre au café corse d’Oulan-Bator, relié Pékin à Shanghai en side-car..., et pris le thé avec le commandant Massoud. Grâce à une volonté à toute épreuve, ils sont venus à bout de tous les obstacles. Un douanier trop zélé? Quelques verres de vodka feront l’affaire. Un porte-monnaie vide? Faites le top model à Pékin. Une voiture qui cale quand on passe la première vitesse et le plus proche garage à quatre cents kilomètres? Qu’importe, la marche arrière fonctionne. «Davaï!» («allons-y!» en russe) Jacques von Polier et nous entraînent dans les coins les plus reculés et les plus insolites de la planète. Dans la lignée des grands récits de voyage, les lieux mythiques – Samarcande, les Monts célestes, la route de la Soie, le désert de Gobi – et les caractères prennent vie en quelques coups de plume: une atmosphère, un ciel, un sourire… une kalachnikov
puis un article de presse du figaro :
Un Français met une marque russe à l’heure mondiale
Le comte Jacques von Polier pose avec au bras des modèles de la collection Raketa, qui seront commercialisés à partir de novembre.
Derrière leurs façades soviétiques décaties se cachent parfois des fabriques au riche potentiel commercial. Depuis deux ans à la tête de l’Usine de Petrodvorets – Raketa, le Français Jacques von Polier, 35 ans, ambitionne de constituer la première marque russe reconnue mondialement.
Pourquoi se lancer dans une telle aventure ?
Je viens de la finance, mais au fond, je suis un créatif. Ce projet me permet d’exprimer cette créativité, puisque je suis à la fois le Président du Conseil d’administration et Directeur créatif de Raketa. La banque était une erreur de parcours qui m’a servi à amasser un certain capital et m’aide aujourd’hui beaucoup pour trouver des investisseurs.
Quels sont les atouts de la marque Raketa ?
Raketa est aujourd’hui la seule marque russe à fabriquer des montres de A à Z. Rien à voir avec les marques qui se contentent de poser leur boîtier sur des pièces sous-traitées ailleurs. Notre usine de Saint-Pétersbourg fabrique les 250 pièces nécessaires. Il n’y a que 4 ou 5 marques suisses qui font la même chose.
Qui sont vos clients aujourd’hui ?
Presque la totalité de notre production est destinée aujourd’hui à satisfaire les commandes d’État. C’est grâce à elles que l’usine a continué à fonctionner depuis 20 ans. Ce sont des commandes de l’armée, du FSB, du ministère des Situations d’urgences, etc. Cette clientèle nous donne une bonne image, mais ne nous permet pas de réaliser des bénéfices. Nous voulons désormais inverser la tendance et séduire le grand public.
Investir dans une marque de montres russe paraît très risqué…
Il y a 15 ans, les Russes étaient anti-patriotes. Ils ne voulaient que des produits importés. Les choses ont changé. Il existe une volonté de consommer russe et nous capitalisons là-dessus. Nous voulons faire émerger la première marque grand public russe. Il existe ailleurs des Coca-Cola, Luis Vuitton, Gucci, etc. Chaque pays a ses grandes marques, sauf la Russie.
Les Russes sont-ils des grands consommateurs de montres ? Quelle clientèle visez-vous ?
La montre est devenue inutile aujourd’hui avec tous les appareils électroniques qui nous entourent. Mais il reste une vraie demande en Russie parce que la montre indique un statut social, et les Russes aiment qu’il soit visible. La montre est un accessoire de mode très prisé, c’est pour les hommes le dernier objet de grande valeur qui reste sur votre corps quand la voiture est restée sur le parking. Mais il faut être réaliste, Raketa ne peut pas rivaliser avec les grandes marques suisses. Nous visons la gamme moyenne.
On a vu Poutine et le Patriarche Kirill arborer des montres suisses très onéreuses. Les verra-t-on un jour avec une Raketa au poignet ?
Pour beaucoup de Russes, Raketa a été la première montre qu’ils ont portée. Je ne serais pas surpris d’apprendre que ç’ait été le cas pour Poutine, d’autant qu’il est originaire de Saint-Pétersbourg, où la marque était particulièrement populaire. C’est vrai qu’après le scandale des montres suisses, certains auront envie d’en arborer de plus modestes et patriotiques.
Allez- vous d’abord lancer la marque en Russie ?
Non, nous allons démarrer simultanément à l’international. Nous allons lancer notre nouvelle collection en novembre, et je prépare actuellement toute une série de manifestations pour faire connaître la marque. Nous sommes d’ores et déjà en négociations avec Harrod’s à Londres, une adresse sur les Champs-Elysées, des boutiques prestigieuses de Moscou et le leader russe de la vente par correspondance. Natalia Vodianova nous a promis son concours pour le style de la ligne féminine des Raketa, afin de mettre un peu d’eau dans notre vin militaire…
Chiffres-clés
Employés : 80
Chiffre d’affaires 2009 : 500 000 euros
Chiffre d’affaires 2010 (prévision) : 2 000 000 euros
Nombre de montres fabriquées en 2009 : 12 500
15 modèles commercialisés à partir de novembre 2010
Fourchette de prix : de 200 à 600 euros
1- Ce ne serait guère étonnant que ce soit la même personne, non?
Un livre :
Davaï ! sur les chemins de l'Eurasie
Jacques Von Polier & Julien Delpech
Robert Laffont
Paris-Shanghai-Paris, avec une vieille Lada et quelques dollars… une épopée cocasse et édifiante qui laissera pantois les routards les plus aguerris. Pour tout viatique, quelques centaines de dollars. Pour tout principe, ne jamais dormir à l’hôtel. Rien n’arrêtera Jacques von Polier et Julien Delpech. En un an, les deux aventuriers ont fait la boucle. Ils ont visité des dizaines de pays, rencontré des centaines de personnes… et avalé des litres de vodka. Ils ont dansé à Vladimir sur les langoureux slows de Joe Dassin, vécu avec les nomades dans les plaines mongoles, bu un petit verre au café corse d’Oulan-Bator, relié Pékin à Shanghai en side-car..., et pris le thé avec le commandant Massoud. Grâce à une volonté à toute épreuve, ils sont venus à bout de tous les obstacles. Un douanier trop zélé? Quelques verres de vodka feront l’affaire. Un porte-monnaie vide? Faites le top model à Pékin. Une voiture qui cale quand on passe la première vitesse et le plus proche garage à quatre cents kilomètres? Qu’importe, la marche arrière fonctionne. «Davaï!» («allons-y!» en russe) Jacques von Polier et nous entraînent dans les coins les plus reculés et les plus insolites de la planète. Dans la lignée des grands récits de voyage, les lieux mythiques – Samarcande, les Monts célestes, la route de la Soie, le désert de Gobi – et les caractères prennent vie en quelques coups de plume: une atmosphère, un ciel, un sourire… une kalachnikov
puis un article de presse du figaro :
Un Français met une marque russe à l’heure mondiale
Le comte Jacques von Polier pose avec au bras des modèles de la collection Raketa, qui seront commercialisés à partir de novembre.
Derrière leurs façades soviétiques décaties se cachent parfois des fabriques au riche potentiel commercial. Depuis deux ans à la tête de l’Usine de Petrodvorets – Raketa, le Français Jacques von Polier, 35 ans, ambitionne de constituer la première marque russe reconnue mondialement.
Pourquoi se lancer dans une telle aventure ?
Je viens de la finance, mais au fond, je suis un créatif. Ce projet me permet d’exprimer cette créativité, puisque je suis à la fois le Président du Conseil d’administration et Directeur créatif de Raketa. La banque était une erreur de parcours qui m’a servi à amasser un certain capital et m’aide aujourd’hui beaucoup pour trouver des investisseurs.
Quels sont les atouts de la marque Raketa ?
Raketa est aujourd’hui la seule marque russe à fabriquer des montres de A à Z. Rien à voir avec les marques qui se contentent de poser leur boîtier sur des pièces sous-traitées ailleurs. Notre usine de Saint-Pétersbourg fabrique les 250 pièces nécessaires. Il n’y a que 4 ou 5 marques suisses qui font la même chose.
Qui sont vos clients aujourd’hui ?
Presque la totalité de notre production est destinée aujourd’hui à satisfaire les commandes d’État. C’est grâce à elles que l’usine a continué à fonctionner depuis 20 ans. Ce sont des commandes de l’armée, du FSB, du ministère des Situations d’urgences, etc. Cette clientèle nous donne une bonne image, mais ne nous permet pas de réaliser des bénéfices. Nous voulons désormais inverser la tendance et séduire le grand public.
Investir dans une marque de montres russe paraît très risqué…
Il y a 15 ans, les Russes étaient anti-patriotes. Ils ne voulaient que des produits importés. Les choses ont changé. Il existe une volonté de consommer russe et nous capitalisons là-dessus. Nous voulons faire émerger la première marque grand public russe. Il existe ailleurs des Coca-Cola, Luis Vuitton, Gucci, etc. Chaque pays a ses grandes marques, sauf la Russie.
Les Russes sont-ils des grands consommateurs de montres ? Quelle clientèle visez-vous ?
La montre est devenue inutile aujourd’hui avec tous les appareils électroniques qui nous entourent. Mais il reste une vraie demande en Russie parce que la montre indique un statut social, et les Russes aiment qu’il soit visible. La montre est un accessoire de mode très prisé, c’est pour les hommes le dernier objet de grande valeur qui reste sur votre corps quand la voiture est restée sur le parking. Mais il faut être réaliste, Raketa ne peut pas rivaliser avec les grandes marques suisses. Nous visons la gamme moyenne.
On a vu Poutine et le Patriarche Kirill arborer des montres suisses très onéreuses. Les verra-t-on un jour avec une Raketa au poignet ?
Pour beaucoup de Russes, Raketa a été la première montre qu’ils ont portée. Je ne serais pas surpris d’apprendre que ç’ait été le cas pour Poutine, d’autant qu’il est originaire de Saint-Pétersbourg, où la marque était particulièrement populaire. C’est vrai qu’après le scandale des montres suisses, certains auront envie d’en arborer de plus modestes et patriotiques.
Allez- vous d’abord lancer la marque en Russie ?
Non, nous allons démarrer simultanément à l’international. Nous allons lancer notre nouvelle collection en novembre, et je prépare actuellement toute une série de manifestations pour faire connaître la marque. Nous sommes d’ores et déjà en négociations avec Harrod’s à Londres, une adresse sur les Champs-Elysées, des boutiques prestigieuses de Moscou et le leader russe de la vente par correspondance. Natalia Vodianova nous a promis son concours pour le style de la ligne féminine des Raketa, afin de mettre un peu d’eau dans notre vin militaire…
Chiffres-clés
Employés : 80
Chiffre d’affaires 2009 : 500 000 euros
Chiffre d’affaires 2010 (prévision) : 2 000 000 euros
Nombre de montres fabriquées en 2009 : 12 500
15 modèles commercialisés à partir de novembre 2010
Fourchette de prix : de 200 à 600 euros
1- Ce ne serait guère étonnant que ce soit la même personne, non?
tsuge- Membre du Parti
- Messages : 154
Date d'inscription : 16/04/2010
Age : 52
un autre article qui parle de la reprise de Raketa par le comte Von Polier
en anglais sur cette adresse : http://www.businesstimes.com.sg/sub/storyprintfriendly/0,4582,401292,00.html?
Times Business - 27 août 2010
La renaissance de l'horlogerie de Russie
Une poignée d'horlogers de pionnier et les entrepreneurs travaillent dur pour remettre le pays sur la carte d 'horlogerie . Par Mark Gordon
Lorsque l'Union soviétique s'est effondrée en 1991 , une des industries les observer le plus gros et le plus innovant dans le monde émietté avec elle . Juste il ya 20 ans , la Russie a accueilli près d'un quart douzaine de grandes usines et d'horloge .
Au zénith de son industrie , aux alentours de 1980 , la Russie a été le deuxième à la Suisse en termes de nombre et la variété des mouvements de produits . Les chiffres de production pour 1980 a montré que la première Moscou Watch Factory produit à elle seule plus de 2,5 millions de montres et de l'usine Vostok plus de 4,5 millions de montres .
En conformité avec les idéaux socialistes du pays , montres et horloges de Russie ont été pratique, fiable, facile à réparer et peu coûteux . Ils ont également l'état de l'art . La liste des innovations de Russie est longue et impressionnante . Russes ont été les premiers à produire des montres-bracelets sur les chaînes de montage modernes et leurs mouvements souvent incorporé des fonctions sophistiquées et des technologies disponibles ailleurs que plus tard et sur pièces beaucoup plus cher.
Malheureusement , les deux décennies qui ont suivi l'effondrement soviétique n'ont pas été bon pour l'industrie horlogère de la Russie. En succession rapide, une usine après l'autre a été forcé de fermer ses portes . Seules deux usines de l'ère soviétique , Vostok et Pensa , restera en production en continu , et les perspectives de leur survie sont , au mieux, ténus .
Mais l'avenir de la production horlogère de Russie n'est pas tout sombre. Un petit groupe de pionniers horlogers et des entrepreneurs de Russie travaillent dur pour mettre la Russie de retour sur la carte d 'horlogerie . Et ils y parviennent .
L'Homme d'affaires Jacques Von Polier - le descendant d'un officier français qui sont venus coloré à la Russie avec Napoléon , mais resté après la retraite des Français - conduit un groupe d'investisseurs qui sont ressusciter l'usine Raketa célèbre dans la banlieue de Saint -Pétersbourg .
Une fois écrite pour mort , cet établissement emblématique a été modernisé par M. von Polier , avec l'aide de consultants suisses , et il est une fois de plus , bourdonnant de la production de montres mécaniques de qualité . Sporting de style rétro cadrans soviétique, qu'ils vendent à partir de 300 $ à 1000 $ .
Aleksandr Makarov a connu un parcours différent . Sa société, Maktime , acquis des équipements de production de la défunte Poljot et les usines et Slava est l'une des dernières entreprises encore en Russie produire des mouvements , y compris le célèbre calibre 3133 chronographe et ses nombreuses variantes . Maktime montres sont vendues principalement en Russie , mais ils sont disponibles auprès de plusieurs vendeurs sur Internet . Leur coût , quand ils se trouvent , varie de 350 $ à 500 $ .
Peut-être le plus ambitieux de tous les appareils de réanimation est Volodko Valentin , dont la société Volmax est frappant hardiment à se tailler un créneau dans le marché international . Volmax a commencé sa vie comme une entreprise formée éclats lorsque la Première Moscou Watch Factory ( Poljot ) a été liquidée dans les années juste après 2000. En utilisant les mouvements russes d'origine et des pièces , l'entreprise produit Aviator et Sturmanskie montres dans une usine moderne niché dans les anciens locaux de la première usine de Moscou Watch.
Déçu par la disponibilité et la qualité des pièces de fabrication russe , et craignant pour la viabilité future de l'horlogerie de Russie, M. Volodko a pris la mesure de pionnier il ya trois ans de créer une entreprise de fabrication suisse, Bourane SA . En combinant des mouvements de haute qualité suisse et composants cas de suppression de dessins de fabrication russe et de savoir-faire , M. Volodko a créé la Russie la première entreprise véritablement multinationale regarder . Bourane montres de détail d'environ 850 $ à 5000 $.
Contrairement à l'approche d'usine , une nouvelle race d' artisans individuels a vu le jour en Russie post-soviétique qui se voient plus que les artistes que les industriels . Deux sociétés qui se démarquent sont Namfleg et Tsedro . Ilya Gelfman est l'âme d'entreprise qui anime Saint -Pétersbourg Namfleg , une société spécialisée dans l'horlogerie de luxe au design audacieux publiés dans des éditions très faible . L'Aurora , par exemple , dispose d'un calibre millésime 1802 de l'ère soviétique mouvement de la main - vent intégré dans un boîtier en acier orné récupéré de la coque en contrebas de la célèbre croiseur naval russe du même nom . Limitée à 1.900 pièces , il se vend pour environ $ 7.000.
Fondée en 2005 , Moscou Tsedro produit haut de gamme , les montres mécaniques de luxe de style classique , de nombreux squelettes , en métaux précieux , alliages complexes et de pierres précieuses . Les montres haut de gamme utilisent des composants russes et suisses et généralement de détail entre $ 15.000 et 50.000 $ .
complications inégalée
La plus éclatante de tous les horlogers talentueux nouveau Konstantin Chaykin . Ses horloges et montres sophistiquées nous aident à redéfinir la notion de complication horlogère.
A 35 ans, natif de Saint-Pétersbourg , Chaykin a été diplômé de télécommunications , sa ville natale 's College . Il s'est intéressé à des horloges et des montres à seulement 10 ans quand il a aidé à démarrer une entreprise montre en gros . Il était de toute évidence une étude rapide.
En moins d'une décennie , Chaykin a conçu et fabriqué une série impressionnante d' horlogerie de calibre mondial intégrant tourbillons sophistiqués et grandes complications . créations marquantes, mentionnons la première montre entièrement transparent , une horloge tourbillon miniature ne mesurant que 84 mm par 134 mm , et un décalogue juif temps montre que les mesures de temps en hébreu et en unités Hélek regaim . ( Dans le calendrier juif , une journée est divisée en 24 heures de durée égale . Chaque heure est divisée en 1.080 Hélek et chaque Hélek est divisé en 76 Rega . )
«Mon travail est une combinaison d'émotions , d'idées et l'histoire. J'aime ce que je fais », m'a dit récemment Chaykin . «Mon expérience et le niveau de connaissances théoriques me permettre d'améliorer et de perfectionner une nouvelle montre ou d'un modèle d'horloge et de la transformer en une véritable œuvre d'art . C'est mon objectif pour chaque pièce d'horlogerie .
créations les plus récentes et les plus impressionnantes sont ses Chaykin musulmans horloges astronomiques . Sa main - vent Hijri horloge, par exemple , emploie le tourbillon comme une aiguille des secondes et intègre des échelles distinctes pour les mois du calendrier musulman , les jours rétrograde du calendrier musulman , les heures et les minutes , les mois laïques , les jours séculaire de la semaine, et lunaire phases . Il dispose d'une réserve de marche de 10 jours , 18.000 WPH , 15 rubis , huit mini roulements et 380 pièces à la main. Il est précis à plus ou moins 15 secondes par jour .
horlogerie Chaykin , qui coûte entre 7000 $ et 60.000 $ , ont mis horlogers russes de retour sur la carte d 'horlogerie . Pour veiller à ce qu'ils y rester tant que l'avenir se déroule, Chaykin est maintenant la formation d'une nouvelle génération de jeunes horlogers russe à Saint-Pétersbourg son usine. Il s'agit d'un rigoureux , l'apprentissage à l'ancienne combinés avec les dernières technologies de précision .
Alors que l'ère ancien est passé pour la montre de Russie et de l'horlogerie , une nouvelle ère et encore plus prometteur est maintenant aube . Le monde n'a pas fini d'entendre parler d' horlogers de la Russie.
Singapour Mark Gordon est un consultant en marketing stratégique , qui a rassemblé une des plus grandes collections au monde de l'ère soviétique de Russie horloges et montres
Il peut être vu à www.ussrtime.com
Copyright © 2010 Singapore Press Holdings Ltd Tous droits réservés .
Times Business - 27 août 2010
La renaissance de l'horlogerie de Russie
Une poignée d'horlogers de pionnier et les entrepreneurs travaillent dur pour remettre le pays sur la carte d 'horlogerie . Par Mark Gordon
Lorsque l'Union soviétique s'est effondrée en 1991 , une des industries les observer le plus gros et le plus innovant dans le monde émietté avec elle . Juste il ya 20 ans , la Russie a accueilli près d'un quart douzaine de grandes usines et d'horloge .
Au zénith de son industrie , aux alentours de 1980 , la Russie a été le deuxième à la Suisse en termes de nombre et la variété des mouvements de produits . Les chiffres de production pour 1980 a montré que la première Moscou Watch Factory produit à elle seule plus de 2,5 millions de montres et de l'usine Vostok plus de 4,5 millions de montres .
En conformité avec les idéaux socialistes du pays , montres et horloges de Russie ont été pratique, fiable, facile à réparer et peu coûteux . Ils ont également l'état de l'art . La liste des innovations de Russie est longue et impressionnante . Russes ont été les premiers à produire des montres-bracelets sur les chaînes de montage modernes et leurs mouvements souvent incorporé des fonctions sophistiquées et des technologies disponibles ailleurs que plus tard et sur pièces beaucoup plus cher.
Malheureusement , les deux décennies qui ont suivi l'effondrement soviétique n'ont pas été bon pour l'industrie horlogère de la Russie. En succession rapide, une usine après l'autre a été forcé de fermer ses portes . Seules deux usines de l'ère soviétique , Vostok et Pensa , restera en production en continu , et les perspectives de leur survie sont , au mieux, ténus .
Mais l'avenir de la production horlogère de Russie n'est pas tout sombre. Un petit groupe de pionniers horlogers et des entrepreneurs de Russie travaillent dur pour mettre la Russie de retour sur la carte d 'horlogerie . Et ils y parviennent .
L'Homme d'affaires Jacques Von Polier - le descendant d'un officier français qui sont venus coloré à la Russie avec Napoléon , mais resté après la retraite des Français - conduit un groupe d'investisseurs qui sont ressusciter l'usine Raketa célèbre dans la banlieue de Saint -Pétersbourg .
Une fois écrite pour mort , cet établissement emblématique a été modernisé par M. von Polier , avec l'aide de consultants suisses , et il est une fois de plus , bourdonnant de la production de montres mécaniques de qualité . Sporting de style rétro cadrans soviétique, qu'ils vendent à partir de 300 $ à 1000 $ .
Aleksandr Makarov a connu un parcours différent . Sa société, Maktime , acquis des équipements de production de la défunte Poljot et les usines et Slava est l'une des dernières entreprises encore en Russie produire des mouvements , y compris le célèbre calibre 3133 chronographe et ses nombreuses variantes . Maktime montres sont vendues principalement en Russie , mais ils sont disponibles auprès de plusieurs vendeurs sur Internet . Leur coût , quand ils se trouvent , varie de 350 $ à 500 $ .
Peut-être le plus ambitieux de tous les appareils de réanimation est Volodko Valentin , dont la société Volmax est frappant hardiment à se tailler un créneau dans le marché international . Volmax a commencé sa vie comme une entreprise formée éclats lorsque la Première Moscou Watch Factory ( Poljot ) a été liquidée dans les années juste après 2000. En utilisant les mouvements russes d'origine et des pièces , l'entreprise produit Aviator et Sturmanskie montres dans une usine moderne niché dans les anciens locaux de la première usine de Moscou Watch.
Déçu par la disponibilité et la qualité des pièces de fabrication russe , et craignant pour la viabilité future de l'horlogerie de Russie, M. Volodko a pris la mesure de pionnier il ya trois ans de créer une entreprise de fabrication suisse, Bourane SA . En combinant des mouvements de haute qualité suisse et composants cas de suppression de dessins de fabrication russe et de savoir-faire , M. Volodko a créé la Russie la première entreprise véritablement multinationale regarder . Bourane montres de détail d'environ 850 $ à 5000 $.
Contrairement à l'approche d'usine , une nouvelle race d' artisans individuels a vu le jour en Russie post-soviétique qui se voient plus que les artistes que les industriels . Deux sociétés qui se démarquent sont Namfleg et Tsedro . Ilya Gelfman est l'âme d'entreprise qui anime Saint -Pétersbourg Namfleg , une société spécialisée dans l'horlogerie de luxe au design audacieux publiés dans des éditions très faible . L'Aurora , par exemple , dispose d'un calibre millésime 1802 de l'ère soviétique mouvement de la main - vent intégré dans un boîtier en acier orné récupéré de la coque en contrebas de la célèbre croiseur naval russe du même nom . Limitée à 1.900 pièces , il se vend pour environ $ 7.000.
Fondée en 2005 , Moscou Tsedro produit haut de gamme , les montres mécaniques de luxe de style classique , de nombreux squelettes , en métaux précieux , alliages complexes et de pierres précieuses . Les montres haut de gamme utilisent des composants russes et suisses et généralement de détail entre $ 15.000 et 50.000 $ .
complications inégalée
La plus éclatante de tous les horlogers talentueux nouveau Konstantin Chaykin . Ses horloges et montres sophistiquées nous aident à redéfinir la notion de complication horlogère.
A 35 ans, natif de Saint-Pétersbourg , Chaykin a été diplômé de télécommunications , sa ville natale 's College . Il s'est intéressé à des horloges et des montres à seulement 10 ans quand il a aidé à démarrer une entreprise montre en gros . Il était de toute évidence une étude rapide.
En moins d'une décennie , Chaykin a conçu et fabriqué une série impressionnante d' horlogerie de calibre mondial intégrant tourbillons sophistiqués et grandes complications . créations marquantes, mentionnons la première montre entièrement transparent , une horloge tourbillon miniature ne mesurant que 84 mm par 134 mm , et un décalogue juif temps montre que les mesures de temps en hébreu et en unités Hélek regaim . ( Dans le calendrier juif , une journée est divisée en 24 heures de durée égale . Chaque heure est divisée en 1.080 Hélek et chaque Hélek est divisé en 76 Rega . )
«Mon travail est une combinaison d'émotions , d'idées et l'histoire. J'aime ce que je fais », m'a dit récemment Chaykin . «Mon expérience et le niveau de connaissances théoriques me permettre d'améliorer et de perfectionner une nouvelle montre ou d'un modèle d'horloge et de la transformer en une véritable œuvre d'art . C'est mon objectif pour chaque pièce d'horlogerie .
créations les plus récentes et les plus impressionnantes sont ses Chaykin musulmans horloges astronomiques . Sa main - vent Hijri horloge, par exemple , emploie le tourbillon comme une aiguille des secondes et intègre des échelles distinctes pour les mois du calendrier musulman , les jours rétrograde du calendrier musulman , les heures et les minutes , les mois laïques , les jours séculaire de la semaine, et lunaire phases . Il dispose d'une réserve de marche de 10 jours , 18.000 WPH , 15 rubis , huit mini roulements et 380 pièces à la main. Il est précis à plus ou moins 15 secondes par jour .
horlogerie Chaykin , qui coûte entre 7000 $ et 60.000 $ , ont mis horlogers russes de retour sur la carte d 'horlogerie . Pour veiller à ce qu'ils y rester tant que l'avenir se déroule, Chaykin est maintenant la formation d'une nouvelle génération de jeunes horlogers russe à Saint-Pétersbourg son usine. Il s'agit d'un rigoureux , l'apprentissage à l'ancienne combinés avec les dernières technologies de précision .
Alors que l'ère ancien est passé pour la montre de Russie et de l'horlogerie , une nouvelle ère et encore plus prometteur est maintenant aube . Le monde n'a pas fini d'entendre parler d' horlogers de la Russie.
Singapour Mark Gordon est un consultant en marketing stratégique , qui a rassemblé une des plus grandes collections au monde de l'ère soviétique de Russie horloges et montres
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Dernière édition par f 6iiv le Jeu 16 Sep 2010 - 12:42, édité 1 fois
f 6iiv- Kamarade
- Messages : 60
Date d'inscription : 15/08/2010
Re: Raketa repris par un Français...
Merci pour ces articles très intéressants !!
Il va falloir vraiment compter avec la Russie maintenant !!!
Il va falloir vraiment compter avec la Russie maintenant !!!
ft1000mp- Vétéran
- Messages : 4084
Date d'inscription : 24/12/2009
Re: Raketa repris par un Français...
tsuge a écrit:Trouvé sur internet.
Un livre :
Davaï ! sur les chemins de l'Eurasie
Jacques Von Polier & Julien Delpech
Robert Laffont
Paris-Shanghai-Paris, avec une vieille Lada et quelques dollars… une épopée cocasse et édifiante qui laissera pantois les routards les plus aguerris. Pour tout viatique, quelques centaines de dollars. Pour tout principe, ne jamais dormir à l’hôtel. Rien n’arrêtera Jacques von Polier et Julien Delpech. En un an, les deux aventuriers ont fait la boucle. Ils ont visité des dizaines de pays, rencontré des centaines de personnes… et avalé des litres de vodka. Ils ont dansé à Vladimir sur les langoureux slows de Joe Dassin, vécu avec les nomades dans les plaines mongoles, bu un petit verre au café corse d’Oulan-Bator, relié Pékin à Shanghai en side-car..., et pris le thé avec le commandant Massoud. Grâce à une volonté à toute épreuve, ils sont venus à bout de tous les obstacles. Un douanier trop zélé? Quelques verres de vodka feront l’affaire. Un porte-monnaie vide? Faites le top model à Pékin. Une voiture qui cale quand on passe la première vitesse et le plus proche garage à quatre cents kilomètres? Qu’importe, la marche arrière fonctionne. «Davaï!» («allons-y!» en russe) Jacques von Polier et nous entraînent dans les coins les plus reculés et les plus insolites de la planète. Dans la lignée des grands récits de voyage, les lieux mythiques – Samarcande, les Monts célestes, la route de la Soie, le désert de Gobi – et les caractères prennent vie en quelques coups de plume: une atmosphère, un ciel, un sourire… une kalachnikov
puis un article de presse du figaro :
Un Français met une marque russe à l’heure mondiale
Le comte Jacques von Polier pose avec au bras des modèles de la collection Raketa, qui seront commercialisés à partir de novembre.
Derrière leurs façades soviétiques décaties se cachent parfois des fabriques au riche potentiel commercial. Depuis deux ans à la tête de l’Usine de Petrodvorets – Raketa, le Français Jacques von Polier, 35 ans, ambitionne de constituer la première marque russe reconnue mondialement.
Pourquoi se lancer dans une telle aventure ?
Je viens de la finance, mais au fond, je suis un créatif. Ce projet me permet d’exprimer cette créativité, puisque je suis à la fois le Président du Conseil d’administration et Directeur créatif de Raketa. La banque était une erreur de parcours qui m’a servi à amasser un certain capital et m’aide aujourd’hui beaucoup pour trouver des investisseurs.
Quels sont les atouts de la marque Raketa ?
Raketa est aujourd’hui la seule marque russe à fabriquer des montres de A à Z. Rien à voir avec les marques qui se contentent de poser leur boîtier sur des pièces sous-traitées ailleurs. Notre usine de Saint-Pétersbourg fabrique les 250 pièces nécessaires. Il n’y a que 4 ou 5 marques suisses qui font la même chose.
Qui sont vos clients aujourd’hui ?
Presque la totalité de notre production est destinée aujourd’hui à satisfaire les commandes d’État. C’est grâce à elles que l’usine a continué à fonctionner depuis 20 ans. Ce sont des commandes de l’armée, du FSB, du ministère des Situations d’urgences, etc. Cette clientèle nous donne une bonne image, mais ne nous permet pas de réaliser des bénéfices. Nous voulons désormais inverser la tendance et séduire le grand public.
Investir dans une marque de montres russe paraît très risqué…
Il y a 15 ans, les Russes étaient anti-patriotes. Ils ne voulaient que des produits importés. Les choses ont changé. Il existe une volonté de consommer russe et nous capitalisons là-dessus. Nous voulons faire émerger la première marque grand public russe. Il existe ailleurs des Coca-Cola, Luis Vuitton, Gucci, etc. Chaque pays a ses grandes marques, sauf la Russie.
Les Russes sont-ils des grands consommateurs de montres ? Quelle clientèle visez-vous ?
La montre est devenue inutile aujourd’hui avec tous les appareils électroniques qui nous entourent. Mais il reste une vraie demande en Russie parce que la montre indique un statut social, et les Russes aiment qu’il soit visible. La montre est un accessoire de mode très prisé, c’est pour les hommes le dernier objet de grande valeur qui reste sur votre corps quand la voiture est restée sur le parking. Mais il faut être réaliste, Raketa ne peut pas rivaliser avec les grandes marques suisses. Nous visons la gamme moyenne.
On a vu Poutine et le Patriarche Kirill arborer des montres suisses très onéreuses. Les verra-t-on un jour avec une Raketa au poignet ?
Pour beaucoup de Russes, Raketa a été la première montre qu’ils ont portée. Je ne serais pas surpris d’apprendre que ç’ait été le cas pour Poutine, d’autant qu’il est originaire de Saint-Pétersbourg, où la marque était particulièrement populaire. C’est vrai qu’après le scandale des montres suisses, certains auront envie d’en arborer de plus modestes et patriotiques.
Allez- vous d’abord lancer la marque en Russie ?
Non, nous allons démarrer simultanément à l’international. Nous allons lancer notre nouvelle collection en novembre, et je prépare actuellement toute une série de manifestations pour faire connaître la marque. Nous sommes d’ores et déjà en négociations avec Harrod’s à Londres, une adresse sur les Champs-Elysées, des boutiques prestigieuses de Moscou et le leader russe de la vente par correspondance. Natalia Vodianova nous a promis son concours pour le style de la ligne féminine des Raketa, afin de mettre un peu d’eau dans notre vin militaire…
Chiffres-clés
Employés : 80
Chiffre d’affaires 2009 : 500 000 euros
Chiffre d’affaires 2010 (prévision) : 2 000 000 euros
Nombre de montres fabriquées en 2009 : 12 500
15 modèles commercialisés à partir de novembre 2010
Fourchette de prix : de 200 à 600 euros
1- Ce ne serait guère étonnant que ce soit la même personne, non?
quelle croissance dans un monde en crise ,je reste septique je ne prends pas ça pour argent comptant
Chiffre d’affaires 2009 : 500 000 euros ( Employés : 80)
Chiffre d’affaires 2010 (prévision) : 2 000 000 euros ( Employés : 80)
quelle Russe achète une Rakéta ????
Quand a la pérénité de la marque Rakéta nous verrons dans l'avenir ce que les frères Von Polier veulent faire de cette marque qui a eu un passé glorieux
SOUZDAL- Commissaire politique
- Messages : 966
Date d'inscription : 31/05/2010
Localisation : C'ap D'Ail (06)
Re: Raketa repris par un Français...
Super intéressant les gars ! Merci
atchoum- Vétéran
- Messages : 2692
Date d'inscription : 25/09/2009
Age : 48
Re: Raketa repris par un Français...
En tout cas, je pense qu'on va entendre reparler de Raketa, et si possible, autrement que par des fakes sur internet!
tsuge- Membre du Parti
- Messages : 154
Date d'inscription : 16/04/2010
Age : 52
Re: Raketa repris par un Français...
Merci pour l'info !
duncan- membre du Politburo
- Messages : 2009
Date d'inscription : 12/08/2010
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