Les montres des astronautes soviétiques
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Les montres des astronautes soviétiques
Bonjour à tous,
Ci-joint un article sur les montres des astronautes russes, ayant des photos intéressantes. Je ne sais pas trop comment insérer les photos, afin qu'éventuellement vous puissiez les agrandir.
Bien cordialement, JM50
Source : https://www.lefigaro.fr/horlogerie/de-gagarine-a-baikonour-soixante-ans-de-montres-spatiales-russes-20210412
De Gagarine à Baïkonour, soixante ans de montres spatiales russes
Par Judikael Hirel Publié le 12/04/2021 à 20:10, mis à jour le 12/04/2021 à 20:10
SAGA - Le 12 juillet 1961, Youri Gagarine devenait à jamais le premier homme dans l’espace. Avec au poignet une Shturmansky made in CCCP.
Allons-y! Poekhali! Au moment de décoller, le cosmonaute soviétique Yuri Gagarine n’aura guère été bavard. Cela ne l’aura pas empêché de devenir le symbole mondial, après Sputnik, de la réussite de la conquête spatiale soviétique. Une conquête menée à tout prix, parfois avec les moyens du bord et au mépris du danger, et des vies humaines, y compris celle des cosmonautes. Le 12 avril 1961, après 1h48 de vol et s’être éjecté de sa capsule de retour en plein ciel, à 7 km d’altitude, Gagarine est rentré dans l’histoire. Avant de devenir le héraut de la propagande soviétique, puis de disparaître dans un «accident» de vol en MiG-15UTI en 1968.
Avec lui, c’est aussi toute l’industrie horlogère soviétique qui a conquis le monde et les poignets, alors que le pilote devenu cosmonaute portait dans l’espace sa Pobeda (Victoire) Shturmansky de seulement 33 mm de diamètre. Une montre réservée aux pilotes soviétiques jusque dans les années 1980, dotée d’un mécanisme antichoc et d’une fonction stop seconde. La Poljot en acier de 38 mm qui lui sera offerte par le maréchal Vershinin, commandant des forces aériennes soviétiques au retour du vol Vostok 1 n’aura été adjugée que 26000 dollars lors de son passage aux enchères il y a quelques années. Bien loin, hélas, des sommes atteintes par certaines Omega Speedmaster passées par la NASA, pour une montre souvent portée par Yuriy Alexeevitch Gagarine et longtemps conservée par sa famille.
Raketa
C’est en 1947 qu’auront été produites les premières Pobeda, produites au bout de quelques années à plus d’un million d’exemplaires par an pour fournir en garde-temps l’empire soviétique. Il faudra attendre les années 1970 pour voir la marque soviétique acquérir des machines suisses. Mais c’est aussi il y a pile 60 ans, le 12 avril 1961, après le premier vol spatial habité du cosmonaute russe que l’Union Soviétique a voulu créer une marque en son honneur: elle sera baptisée “Raketa”, “fusée spatiale” en russe. Depuis, la manufacture horlogère de St Pétersbourg a accompagné chaque pas de la conquête spatiale et produit des montres pour les cosmonautes soviétiques.
À LIRE AUSSI Raketa, 300 ans d’avant-garde horlogère russe
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Aujourd’hui, six décennies ans plus tard, elle propose encore une Raketa Baïkonour, une montre spécialisée pour cosmonautes, conçue et développée avec le cosmonaute Sergueï Krikalev en 2016. Certainement l’un des cosmonautes ayant le plus contribué à la conquête spatiale. Il détient l’un des records du nombre de séjours dans l’espace (6 séjours) et du temps passé en orbite en durée cumulée (803 jours - presque deux ans et demi!). Il faut dire qu’il est resté bloqué six mois dans l’espace quand l’Union Soviétique s’est effondrée en 1991… Il ne reviendra sur Terre qu’en 1992.
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Cette Raketa «Baïkonour» embarque une complication purement spatiale: un mouvement 24 heures permettant de distinguer le jour de la nuit à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) où l’on compte 16 levers et couchers de soleil par 24 heures (l’ISS orbitant autour de la Terre en 90 minutes). Autre particularité du mouvement Raketa de cette Baïkonour: une fois portée dans la station spatiale, où son système de remontage automatique ne peut pas fonctionner en l’absence de gravité, un système spécial le débraye afin d’éviter l’usure du mouvement dans l’espace. Quant à son cadran 24 heures, il sert de compas solaire: sa lunette rotative indique les quatre points cardinaux (en russe) et les 360 degrés comme le ferait un compas normal. Pratique pour les futurs touristes de l’espace… Enfin, à l’occasion du 60e anniversaire du premier vol habité dans l’espace et de la création de la marque Raketa, chaque montre Baïkonour est livrée avec un insigne spatial russe.
2ème tentative et après je laisse tomber
Bonjour à tous,
Ci-joint un article sur les montres des astronautes russes, ayant des photos intéressantes. Je ne sais pas trop comment insérer les photos, afin qu'éventuellement vous puissiez les agrandir.
Bien cordialement, JM50
Les montres des astronautes soviétiques Gagari10
Source : https://www.lefigaro.fr/horlogerie/de-gagarine-a-baikonour-soixante-ans-de-montres-spatiales-russes-20210412
De Gagarine à Baïkonour, soixante ans de montres spatiales russes
Par Judikael Hirel Publié le 12/04/2021 à 20:10, mis à jour le 12/04/2021 à 20:10
SAGA - Le 12 juillet 1961, Youri Gagarine devenait à jamais le premier homme dans l’espace. Avec au poignet une Shturmansky made in CCCP.
Allons-y! Poekhali! Au moment de décoller, le cosmonaute soviétique Yuri Gagarine n’aura guère été bavard. Cela ne l’aura pas empêché de devenir le symbole mondial, après Sputnik, de la réussite de la conquête spatiale soviétique. Une conquête menée à tout prix, parfois avec les moyens du bord et au mépris du danger, et des vies humaines, y compris celle des cosmonautes. Le 12 avril 1961, après 1h48 de vol et s’être éjecté de sa capsule de retour en plein ciel, à 7 km d’altitude, Gagarine est rentré dans l’histoire. Avant de devenir le héraut de la propagande soviétique, puis de disparaître dans un «accident» de vol en MiG-15UTI en 1968.
Avec lui, c’est aussi toute l’industrie horlogère soviétique qui a conquis le monde et les poignets, alors que le pilote devenu cosmonaute portait dans l’espace sa Pobeda (Victoire) Shturmansky de seulement 33 mm de diamètre. Une montre réservée aux pilotes soviétiques jusque dans les années 1980, dotée d’un mécanisme antichoc et d’une fonction stop seconde. La Poljot en acier de 38 mm qui lui sera offerte par le maréchal Vershinin, commandant des forces aériennes soviétiques au retour du vol Vostok 1 n’aura été adjugée que 26000 dollars lors de son passage aux enchères il y a quelques années. Bien loin, hélas, des sommes atteintes par certaines Omega Speedmaster passées par la NASA, pour une montre souvent portée par Yuriy Alexeevitch Gagarine et longtemps conservée par sa famille.
Raketa
C’est en 1947 qu’auront été produites les premières Pobeda, produites au bout de quelques années à plus d’un million d’exemplaires par an pour fournir en garde-temps l’empire soviétique. Il faudra attendre les années 1970 pour voir la marque soviétique acquérir des machines suisses. Mais c’est aussi il y a pile 60 ans, le 12 avril 1961, après le premier vol spatial habité du cosmonaute russe que l’Union Soviétique a voulu créer une marque en son honneur: elle sera baptisée “Raketa”, “fusée spatiale” en russe. Depuis, la manufacture horlogère de St Pétersbourg a accompagné chaque pas de la conquête spatiale et produit des montres pour les cosmonautes soviétiques.
À LIRE AUSSI Raketa, 300 ans d’avant-garde horlogère russe
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Aujourd’hui, six décennies ans plus tard, elle propose encore une Raketa Baïkonour, une montre spécialisée pour cosmonautes, conçue et développée avec le cosmonaute Sergueï Krikalev en 2016. Certainement l’un des cosmonautes ayant le plus contribué à la conquête spatiale. Il détient l’un des records du nombre de séjours dans l’espace (6 séjours) et du temps passé en orbite en durée cumulée (803 jours - presque deux ans et demi!). Il faut dire qu’il est resté bloqué six mois dans l’espace quand l’Union Soviétique s’est effondrée en 1991… Il ne reviendra sur Terre qu’en 1992.
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Cette Raketa «Baïkonour» embarque une complication purement spatiale: un mouvement 24 heures permettant de distinguer le jour de la nuit à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) où l’on compte 16 levers et couchers de soleil par 24 heures (l’ISS orbitant autour de la Terre en 90 minutes). Autre particularité du mouvement Raketa de cette Baïkonour: une fois portée dans la station spatiale, où son système de remontage automatique ne peut pas fonctionner en l’absence de gravité, un système spécial le débraye afin d’éviter l’usure du mouvement dans l’espace. Quant à son cadran 24 heures, il sert de compas solaire: sa lunette rotative indique les quatre points cardinaux (en russe) et les 360 degrés comme le ferait un compas normal. Pratique pour les futurs touristes de l’espace… Enfin, à l’occasion du 60e anniversaire du premier vol habité dans l’espace et de la création de la marque Raketa, chaque montre Baïkonour est livrée avec un insigne spatial russe.
JM50
Ci-joint un article sur les montres des astronautes russes, ayant des photos intéressantes. Je ne sais pas trop comment insérer les photos, afin qu'éventuellement vous puissiez les agrandir.
Bien cordialement, JM50
Source : https://www.lefigaro.fr/horlogerie/de-gagarine-a-baikonour-soixante-ans-de-montres-spatiales-russes-20210412
De Gagarine à Baïkonour, soixante ans de montres spatiales russes
Par Judikael Hirel Publié le 12/04/2021 à 20:10, mis à jour le 12/04/2021 à 20:10
SAGA - Le 12 juillet 1961, Youri Gagarine devenait à jamais le premier homme dans l’espace. Avec au poignet une Shturmansky made in CCCP.
Allons-y! Poekhali! Au moment de décoller, le cosmonaute soviétique Yuri Gagarine n’aura guère été bavard. Cela ne l’aura pas empêché de devenir le symbole mondial, après Sputnik, de la réussite de la conquête spatiale soviétique. Une conquête menée à tout prix, parfois avec les moyens du bord et au mépris du danger, et des vies humaines, y compris celle des cosmonautes. Le 12 avril 1961, après 1h48 de vol et s’être éjecté de sa capsule de retour en plein ciel, à 7 km d’altitude, Gagarine est rentré dans l’histoire. Avant de devenir le héraut de la propagande soviétique, puis de disparaître dans un «accident» de vol en MiG-15UTI en 1968.
Avec lui, c’est aussi toute l’industrie horlogère soviétique qui a conquis le monde et les poignets, alors que le pilote devenu cosmonaute portait dans l’espace sa Pobeda (Victoire) Shturmansky de seulement 33 mm de diamètre. Une montre réservée aux pilotes soviétiques jusque dans les années 1980, dotée d’un mécanisme antichoc et d’une fonction stop seconde. La Poljot en acier de 38 mm qui lui sera offerte par le maréchal Vershinin, commandant des forces aériennes soviétiques au retour du vol Vostok 1 n’aura été adjugée que 26000 dollars lors de son passage aux enchères il y a quelques années. Bien loin, hélas, des sommes atteintes par certaines Omega Speedmaster passées par la NASA, pour une montre souvent portée par Yuriy Alexeevitch Gagarine et longtemps conservée par sa famille.
Raketa
C’est en 1947 qu’auront été produites les premières Pobeda, produites au bout de quelques années à plus d’un million d’exemplaires par an pour fournir en garde-temps l’empire soviétique. Il faudra attendre les années 1970 pour voir la marque soviétique acquérir des machines suisses. Mais c’est aussi il y a pile 60 ans, le 12 avril 1961, après le premier vol spatial habité du cosmonaute russe que l’Union Soviétique a voulu créer une marque en son honneur: elle sera baptisée “Raketa”, “fusée spatiale” en russe. Depuis, la manufacture horlogère de St Pétersbourg a accompagné chaque pas de la conquête spatiale et produit des montres pour les cosmonautes soviétiques.
À LIRE AUSSI Raketa, 300 ans d’avant-garde horlogère russe
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Aujourd’hui, six décennies ans plus tard, elle propose encore une Raketa Baïkonour, une montre spécialisée pour cosmonautes, conçue et développée avec le cosmonaute Sergueï Krikalev en 2016. Certainement l’un des cosmonautes ayant le plus contribué à la conquête spatiale. Il détient l’un des records du nombre de séjours dans l’espace (6 séjours) et du temps passé en orbite en durée cumulée (803 jours - presque deux ans et demi!). Il faut dire qu’il est resté bloqué six mois dans l’espace quand l’Union Soviétique s’est effondrée en 1991… Il ne reviendra sur Terre qu’en 1992.
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Cette Raketa «Baïkonour» embarque une complication purement spatiale: un mouvement 24 heures permettant de distinguer le jour de la nuit à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) où l’on compte 16 levers et couchers de soleil par 24 heures (l’ISS orbitant autour de la Terre en 90 minutes). Autre particularité du mouvement Raketa de cette Baïkonour: une fois portée dans la station spatiale, où son système de remontage automatique ne peut pas fonctionner en l’absence de gravité, un système spécial le débraye afin d’éviter l’usure du mouvement dans l’espace. Quant à son cadran 24 heures, il sert de compas solaire: sa lunette rotative indique les quatre points cardinaux (en russe) et les 360 degrés comme le ferait un compas normal. Pratique pour les futurs touristes de l’espace… Enfin, à l’occasion du 60e anniversaire du premier vol habité dans l’espace et de la création de la marque Raketa, chaque montre Baïkonour est livrée avec un insigne spatial russe.
2ème tentative et après je laisse tomber
Bonjour à tous,
Ci-joint un article sur les montres des astronautes russes, ayant des photos intéressantes. Je ne sais pas trop comment insérer les photos, afin qu'éventuellement vous puissiez les agrandir.
Bien cordialement, JM50
Les montres des astronautes soviétiques Gagari10
Source : https://www.lefigaro.fr/horlogerie/de-gagarine-a-baikonour-soixante-ans-de-montres-spatiales-russes-20210412
De Gagarine à Baïkonour, soixante ans de montres spatiales russes
Par Judikael Hirel Publié le 12/04/2021 à 20:10, mis à jour le 12/04/2021 à 20:10
SAGA - Le 12 juillet 1961, Youri Gagarine devenait à jamais le premier homme dans l’espace. Avec au poignet une Shturmansky made in CCCP.
Allons-y! Poekhali! Au moment de décoller, le cosmonaute soviétique Yuri Gagarine n’aura guère été bavard. Cela ne l’aura pas empêché de devenir le symbole mondial, après Sputnik, de la réussite de la conquête spatiale soviétique. Une conquête menée à tout prix, parfois avec les moyens du bord et au mépris du danger, et des vies humaines, y compris celle des cosmonautes. Le 12 avril 1961, après 1h48 de vol et s’être éjecté de sa capsule de retour en plein ciel, à 7 km d’altitude, Gagarine est rentré dans l’histoire. Avant de devenir le héraut de la propagande soviétique, puis de disparaître dans un «accident» de vol en MiG-15UTI en 1968.
Avec lui, c’est aussi toute l’industrie horlogère soviétique qui a conquis le monde et les poignets, alors que le pilote devenu cosmonaute portait dans l’espace sa Pobeda (Victoire) Shturmansky de seulement 33 mm de diamètre. Une montre réservée aux pilotes soviétiques jusque dans les années 1980, dotée d’un mécanisme antichoc et d’une fonction stop seconde. La Poljot en acier de 38 mm qui lui sera offerte par le maréchal Vershinin, commandant des forces aériennes soviétiques au retour du vol Vostok 1 n’aura été adjugée que 26000 dollars lors de son passage aux enchères il y a quelques années. Bien loin, hélas, des sommes atteintes par certaines Omega Speedmaster passées par la NASA, pour une montre souvent portée par Yuriy Alexeevitch Gagarine et longtemps conservée par sa famille.
Raketa
C’est en 1947 qu’auront été produites les premières Pobeda, produites au bout de quelques années à plus d’un million d’exemplaires par an pour fournir en garde-temps l’empire soviétique. Il faudra attendre les années 1970 pour voir la marque soviétique acquérir des machines suisses. Mais c’est aussi il y a pile 60 ans, le 12 avril 1961, après le premier vol spatial habité du cosmonaute russe que l’Union Soviétique a voulu créer une marque en son honneur: elle sera baptisée “Raketa”, “fusée spatiale” en russe. Depuis, la manufacture horlogère de St Pétersbourg a accompagné chaque pas de la conquête spatiale et produit des montres pour les cosmonautes soviétiques.
À LIRE AUSSI Raketa, 300 ans d’avant-garde horlogère russe
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Aujourd’hui, six décennies ans plus tard, elle propose encore une Raketa Baïkonour, une montre spécialisée pour cosmonautes, conçue et développée avec le cosmonaute Sergueï Krikalev en 2016. Certainement l’un des cosmonautes ayant le plus contribué à la conquête spatiale. Il détient l’un des records du nombre de séjours dans l’espace (6 séjours) et du temps passé en orbite en durée cumulée (803 jours - presque deux ans et demi!). Il faut dire qu’il est resté bloqué six mois dans l’espace quand l’Union Soviétique s’est effondrée en 1991… Il ne reviendra sur Terre qu’en 1992.
Russian watches, montres russes, Russische Uhren,
Cette Raketa «Baïkonour» embarque une complication purement spatiale: un mouvement 24 heures permettant de distinguer le jour de la nuit à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) où l’on compte 16 levers et couchers de soleil par 24 heures (l’ISS orbitant autour de la Terre en 90 minutes). Autre particularité du mouvement Raketa de cette Baïkonour: une fois portée dans la station spatiale, où son système de remontage automatique ne peut pas fonctionner en l’absence de gravité, un système spécial le débraye afin d’éviter l’usure du mouvement dans l’espace. Quant à son cadran 24 heures, il sert de compas solaire: sa lunette rotative indique les quatre points cardinaux (en russe) et les 360 degrés comme le ferait un compas normal. Pratique pour les futurs touristes de l’espace… Enfin, à l’occasion du 60e anniversaire du premier vol habité dans l’espace et de la création de la marque Raketa, chaque montre Baïkonour est livrée avec un insigne spatial russe.
JM50
JM50- Messages : 40
Date d'inscription : 22/05/2017
Age : 68
Localisation : Normandie
gp20 aime ce message
Re: Les montres des astronautes soviétiques
Bonjour JM50
Merci pour ce partage, mais je suis un peu réservé sur le contenu :
1/ un lien eût été suffisant plutôt que d'essayer de répliquer l'article ici
2/ voir aussi ici
3/ pour qui s'intéresse à ce forum et lit ou recherche les posts sur ce sujet, l'article est très embrouillé (propos et illustrations), fouillis, un festival d'approximations, et au final ça ressemble à un sujet survolé pour en réalité servir de publireportage à la nouvelle Raketa Baïkonour.
L'article montre une “Rodina” automatique et non une “Pobeda”, il ne distingue pas les différents types de “Shturmanskie” (les dérivées de “Pobeda” elles-mêmes descendantes des LIP / les chronographes de la 1MWF), il ne parle pas des Strela (et de leur origine), etc, etc, etc.
4/ déjà, quand on commence l'article avec “made in CCCP” et non (“made in USSR” / “fabriqué en URSS” / “сделано в ссср”), ça en dit long sur les mélanges et approximations qui vont suivre. Et, un peu du même ordre, les soviétiques avaient des cosmonautes, pas des astronautes
Sinon, à ma connaissance, et comme rappelé là, les meilleures ressources sur le sujet (en attendant qu'Hanoï s'y colle !) sont sur le site Russian Times, et sur ce sujet du forum espagnol HDR.
Une thèse intéressante est aussi exposée ici.
Et pour une revue de la Raketa Baïkonour par le camarade Erygyios, c'est là.
Et en bonus, ces deux bizarreries horlogères tout aussi rares que rarement montrées que sont l’horloge de bord des Soyouz, des stations Saliout et de la navette Bourane et l’horloge de bord de la station MIR et des Soyouz TM, par Hanoï.
Merci pour ce partage, mais je suis un peu réservé sur le contenu :
1/ un lien eût été suffisant plutôt que d'essayer de répliquer l'article ici
2/ voir aussi ici
3/ pour qui s'intéresse à ce forum et lit ou recherche les posts sur ce sujet, l'article est très embrouillé (propos et illustrations), fouillis, un festival d'approximations, et au final ça ressemble à un sujet survolé pour en réalité servir de publireportage à la nouvelle Raketa Baïkonour.
L'article montre une “Rodina” automatique et non une “Pobeda”, il ne distingue pas les différents types de “Shturmanskie” (les dérivées de “Pobeda” elles-mêmes descendantes des LIP / les chronographes de la 1MWF), il ne parle pas des Strela (et de leur origine), etc, etc, etc.
4/ déjà, quand on commence l'article avec “made in CCCP” et non (“made in USSR” / “fabriqué en URSS” / “сделано в ссср”), ça en dit long sur les mélanges et approximations qui vont suivre. Et, un peu du même ordre, les soviétiques avaient des cosmonautes, pas des astronautes
Sinon, à ma connaissance, et comme rappelé là, les meilleures ressources sur le sujet (en attendant qu'Hanoï s'y colle !) sont sur le site Russian Times, et sur ce sujet du forum espagnol HDR.
Une thèse intéressante est aussi exposée ici.
Et pour une revue de la Raketa Baïkonour par le camarade Erygyios, c'est là.
Et en bonus, ces deux bizarreries horlogères tout aussi rares que rarement montrées que sont l’horloge de bord des Soyouz, des stations Saliout et de la navette Bourane et l’horloge de bord de la station MIR et des Soyouz TM, par Hanoï.
JM50 et gp20 aiment ce message
Gros soupir du p'tit vieux de la Manche ;-)
Bonjour et merci Chronotopos, pour ton commentaire très complet. Évidemment, ce n'est sans doute pas dans le FIGARO que les articles les plus solides sur les montres soviétiques peuvent être trouvés Mais va-t'en savoir comment je suis "tombé" sur cet article alors que je ne suis vraiment pas un lecteur de ce fanzine militant
C'était surtout pour les photos -magnifiques, mais je suis trop âgé pour les "copier" sans casse
Bien retenue, la leçon de ne mettre qu'un lien !
Bon début de week-end à tous. JM50
C'était surtout pour les photos -magnifiques, mais je suis trop âgé pour les "copier" sans casse
Bien retenue, la leçon de ne mettre qu'un lien !
Bon début de week-end à tous. JM50
JM50- Messages : 40
Date d'inscription : 22/05/2017
Age : 68
Localisation : Normandie
Chronotopos et gp20 aiment ce message
Re: Les montres des astronautes soviétiques
ttt ttt ttt, on n'est pas vieux à 66 piges, tout juste frais comme un gardon, et on garde encore pas mal de tours... dans sa manche !
JM50 aime ce message
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